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Post-traitement dentaire
Une sélection de machines spécialisées pour le post-traitement dentaire 3D : stations de lavage, unités de polymérisation UV, systèmes de séchage et de finition. Conçues pour garantir la qualité dimensionnelle, la biocompatibilité et la reproductibilité des pièces dentaires imprimées en série.
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Post-traitement dentaire
Dans le workflow dentaire numérique, l'imprimante 3D dentaire ne constitue qu’une partie du process. Le post-traitement est un maillon critique qui transforme une pièce brute en un dispositif médical fonctionnel et conforme. Une machine adaptée y est indispensable pour maîtriser chaque étape : nettoyage, polymérisation, séchage, finition.
Pourquoi des machines de post-traitement dentaire ?
Après impression, des résidus de résine non polymérisée subsistent fréquemment à la surface des pièces. Si le nettoyage n’est pas réalisé rigoureusement, des défauts de solidité ou de biocompatibilité peuvent survenir. Le retrait de supports est délicat, notamment dans les zones fines ou les fosses occlusales. Enfin, la polymérisation UV et le séchage complètent la solidification du matériau et garantissent ses propriétés mécaniques. Des finitions comme le polissage ou le traitement de surface viennent parfaire l’aspect et la tolérance dimensionnelle. (Voir guide de post-traitement SLA et techniques avancées)
Ainsi, une machine dédiée permet :
- d’automatiser le lavage et de minimiser les interventions manuelles (trempage, agitation, rinçage),
- d’assurer une exposition UV homogène et contrôlée,
- d’intégrer un séchage optimisé pour que les résines atteignent leur densité finale,
- de réaliser des finitions de surface cohérentes (ponçage, micro-gravure, polissage).
Lorsque la production est volumique, l’automatisation réduit les temps morts, améliore la reproductibilité et limite les erreurs humaines.
Normes, qualité et validation
Dans le secteur dentaire, chaque pièce imprimée doit répondre à des tolérances dimensionnelles très strictes (souvent mesurées en microns). Le post-traitement doit être validé pour garantir que les pièces livrées restent conformes aux plans CAD/CAM. Le contrôle s’effectue souvent par scanner 3D, comparaisons de mesh et cartographie des écarts.
La biocompatibilité impose que les résidus de monomère non polymérisé soient éliminés, et que l’exposition UV soit suffisante pour stabiliser la structure. Un protocole bien calibré est donc crucial.